Après avoir étudié les arts appliqués à Lisaa de Rennes, Mathilde le Mancq intègre le Pôle Céramique de Normandie où elle apprend la technique de la terre vernissée, du tournage et la décoration sous glaçure. Elle se forme également à la Royal Danish School of Design, auprès de Henri Ackermann et Mathieu Liévois.
Les céramiques de Mathilde Le Mancq évoluent autour de l’image. Elle peint des visages d’hommes et de femmes inspirés de photographies ou de film qu’elle mêle à ses propres personnages et motifs. Cette trame en patchwork s’assemble à la manière d’une bande dessinée, sans narration. Chaque pièce est un ensemble qui peut aussi s’apprécier case par case, l’artiste invite l’observateur à se projeter dans son univers et laisser courir son imagination.